Il était un fois la poste et son métier le transport le conversations privées de liquidités d'argent bref de symboles. Depuis la nuit des temps, le transports de symboles est un métier a part. Qu'il s'agisse de messagers de guerre qui risque leurs têtes a chaque mauvaise nouvelle, qu'il s'agisse de Venise et de ses marchands, qu'il s'agisse de Napoléon et de ses réformes, de ces sémaphores, chaque fois que l'on essayer de réformer la poste loin de son métier, le transport de symboles, la société dans son entièreté a changé. Jusque récemment, ou les vendeurs de cartes postales se sont vus électronisés sous forme de réseaux sociaux, le symbolique est sa violence ont changer la donne sociale. Concentrant le système d'information au niveau mondial et partageant le systèmes de décisions, d’où le mal être politique actuel. Les gens qui utilisent ces réseaux sociaux revendiquant, d'autres valeurs que les valeurs des représentants politiques qui eux prennent les décisions en leur noms. Le malaise vient non des revendications, mais de la représentativité, qui a du mal a suivre. La poste a un temps de retard, bien que suivent l'une de branche de son activité première, la finances, elle n'a pas su prendre le virage des réseaux sociaux. Est -il trop tard ? je ne le pense pas car Orange Healthcare la branche sémaphore de la poste peut prendre se virage et de l'avance avec la télémédecine. Mais revenons un peu en arrière comment la chose publique a été dépecé pour maintenant faire les joie du privé de compagnies étrangères: Facebook Twitter, Weibo, Google+ bref les vendeurs de carte postales électroniques sont notre quotidien. Ils en vivent et nous aussi. L'open sources est le ressort capitalistique des ces nouveau modèles.